Karen Taylor entame une nouvelle carrière à 59 ans! Selon elle, c’est en partie grâce à Manuvie qui l’a aidée à effectuer la transition.
Karen vit en Nouvelle-Écosse. Elle était administratrice des ressources humaines au sein des Forces armées canadiennes (FAC) avant d’être libérée pour des raisons médicales en 2019. Aujourd’hui, elle est titulaire d’un baccalauréat en communication.
Karen attribue une grande partie de son incroyable réussite au soutien que lui ont apporté son régime d’invalidité de longue durée (ILD) et notre programme de réadaptation professionnelle. Nous offrons ce service aux membres admissibles du régime des FAC libérés pour cause de maladie ou de blessure par l’entremise de leur régime d’assurance collective.
Après avoir fait carrière dans l’armée, bon nombre des participants sont aux prises avec un trouble de stress post-traumatique, des problèmes de santé mentale ou des incapacités physiques. Ils ne peuvent réintégrer leur poste après le dépôt d’une demande de règlement pour invalidité. Ces demandes sont en fait traitées un peu différemment.
Depuis plus de cinquante ans, nos gestionnaires de dossiers et nos conseillers en réadaptation professionnelle aident le personnel militaire à faire la transition vers la vie civile, ce qui implique souvent un retour au travail dans un emploi non militaire et, par conséquent, un recyclage professionnel important.
« Quand j’ai été libérée, je savais que ma vie n’était pas finie. Je voulais en faire plus. Ce programme m’a donné le coup de pouce nécessaire et les moyens pour atteindre mes objectifs », confie Karen.
Elle avait déjà terminé plusieurs cours du baccalauréat en communication. Elle était une candidate idéale pour notre programme de réadaptation professionnelle.
« Nous avons rencontré Karen avant qu’elle soit relevée de ses fonctions dans l’armée. Le programme de réadaptation professionnelle l’enthousiasmait grandement, se souvient Roland Thompson, spécialiste en réadaptation à Manuvie. C’est possible pour nous d’approuver une demande sur-le-champ si tous les paramètres sont satisfaits. Et le plan d’études de Karen était réalisable. Elle s’était bien préparée. Elle savait quelle direction elle voulait prendre, ce qui a facilité la préparation de son plan de soutien. Les mesures de soutien du promoteur de régime et son allocation étaient en place avant même qu’elle soit libérée. »
Depuis, Karen est plongée dans ses livres et s’efforce d’élargir ses possibilités de carrière, sans oublier de garder son esprit sain et actif. « Je n’ai jamais considéré mon âge comme un obstacle. Vieillir n’a pas l’importance qu’on lui accorde. Apprendre me rend heureuse et je veux rester dans la course. Je veux m’impliquer dans le monde pour nous offrir, à mon chien Rudi et à moi, la meilleure vie possible. »
Un exemple à suivre
Georgette Nassar, gestionnaire de dossiers d’invalidité de longue durée à Manuvie, décrit Karen comme un modèle à suivre. « Karen veut continuer à travailler, même si elle a quelques limites. Ça prouve que tout le monde peut travailler quand la volonté est là. »
Roland ajoute ceci : « De savoir que ça a été une bénédiction pour elle, ça nous fait vraiment plaisir. »
Pour Karen, le soutien émotionnel teinté d’empathie qu’elle a reçu de Roland et de Georgette, entre autres, a été essentiel à sa réussite. « Je savais qu’il y avait beaucoup de monde chez Manuvie qui prenait soin de moi et qui travaillait pour moi et ça a fait toute la différence. »